Dimanche dernier “Esta Semana“, une émission TV d'une heure d'informations, au Nicaragua, a diffusé un reportage approfondi sur le programme, financé par le gouvernement, d'attribution de prêts aidés à des micro-entreprises gérées par des femmes Usure Zéro.
Mais Naren Mayorga de Y ahora ¿de qué vamos a hablar? résume la portée de ce programme :
Lo poco que se sabe del mismo es que se ofrecen crédito por el rango de C$1,000 a C$5,000 a comerciantes mujeres urbanos bajo la metodología de Grupos solidarios y con tasas de interés subsidiadas que ronda el 4% anual con un périodo de gracia de varia de 2 a 6 meses según el monto prestado y que en su administración participan distintas organizaciones e instituciones del estado
Le peu que l'on sait à ce sujet est qu'on offre des prêts de l'ordre de mille à cinq mille cordobas (de 35 à 175 €) à des femmes commerçantes urbaines suivant la méthode de Groupes solidaires avec des taux d'intérêts bonifiés autour de 4 % par an avec un délai de remboursement qui varie de deux à six mois selon le montant prêté, et que plusieurs organismes et institutions de l'état participent à son administration.
Cette aide est insuffisante pour couvrir les besoins des bénéficiaires. Le blog donne l'exemple d'une femme qui a témoigné dans “Esta Semana” et qui a besoin de 10 000 à 15 000 cordobas (de 350 à 535 €) pour son commerce alimentaire : le prêt du gouvernement ne couvrira qu'un tiers de ses besoins, et elle devra emprunter le reste à l'usurier à des taux de 10 à 20 % mensuels.
De plus ce blog relève non seulement des erreurs des journalistes TV, mais aussi des responsables de ce programme et du gouvernement.
…En una entrevista que le hicieron a la encargada del Usura Cero en uno de los medios de comunicación afines al gobierno mencionó que el programa era todo un éxito por que se estaba logrando la recuperación de más del 70% de los montos prestados. Para que un programa de este tipo sea viable debe de tener una tasa de recuperación mayor al 90% menos que eso está condenado al fracaso o subsistir mediante la inyección de fondos del erario público o bien mediante préstamos o donaciones de otros países (como es el caso del usura cero).