Sur The Nicaragua Dispatch, Tim Rogerts rapporte que les jeunes de l’opposition ont découvert qu’utiliser les médias sociaux, tels Facebook, pour organiser des manifestations n’est pas sans danger au Nicaragua. « Nos comptes Facebook et Twitter sont surveillés. Ils ont été piratés, tout comme nos comptes de messagerie électronique », explique l’activiste Israel Lewites, membre du mouvement d’opposition Nicaragua2.0. [lien en anglais]