Azadi-Esteghal-Edalat ironise [en farsi] sur la libération de “deux espions américains” par les autorités iraniennes, qui gardent néanmoins en captivité les leaders de l'opposition. Le blogueur fait en fait référence à la libération de deux randonneurs américains accusés [en anglais] d'espionnage en Iran et détenus depuis le 31 juillet 2009.